La course et la marche de la Bourbonnaise pour eux ont impliqué plus de 1 700 femmes et filles qui ont marché plus de 5 km et 10 km au bord des rivières du Moulin et de l’Allier, mais elles ont ignoré la pluie. Le nom de code est Rose. Ajoutez de la couleur au gris.
1 754 femmes, filles (et quelques garçons), dépendant du site du raffinage, ont pris le départ de la Marche Solidaire et Féminine de la Bourbonnaise, ce dimanche 26 mai, de 7 mois à 77 ans (Au moins) J’ai couru pour elles. . ).
En effet, personne n’est assez vieux pour connaître le sort des crabes. Et après une grossesse, après une maladie, après un deuil, après une joie, après un désir incontrôlable, même après 40, 50, 60 ans, on peut encore bouger, faire du sport, et reprendre ses activités, peu importe. Vous devez « ne pas vous forcer », « écouter vos propres opinions » et « ne pas abandonner ». « Une activité régulière est importante, que ce soit marcher, courir, nager, etc. », avouions-nous à nos « doyens », les pimpants sexasses. J’étais heureux que tout le monde ait pu parcourir les 10 km.Premier dans chaque catégorie : du Cadet au Master 7 (70ème année pour Marie Noel Boursa !). Quatre personnes ont également fêté leur anniversaire ce jour-là.
Laurie Fouquet remporte le Prix Bourbonnaise [classement complet]
Le message que leur adresse la Bourbonnaise est un sport plus sain que jamais. Cela évitera un nombre important de problèmes médicaux. Et quand on participe à une course comme celle-ci, on sait que l’argent récolté ira à l’espace Accanthe (situé à l’hôpital du Moulin) pour financer les soins de support aux personnes sous traitement contre le cancer.
Mathilde Duchâtel
Photo : Séverine Tremaud