C’était l’un des débats les plus attendus, avec une nouvelle mobilisation anti-bassin vendredi 19 juillet à Saint-Sauvin, dans la Vienne, et le lendemain dans le port de La Rochelle. Quelques jours avant l’événement, les tensions sont vives. est élevé pour des raisons compréhensibles. Le Festival International de Journalisme de Couture-sur-Garonne, toujours au centre de l’actualité, sera organisé ce samedi 13 juillet, après 15h, par Julien, fondateur et porte-parole de Bassin Non Merci・Nous avons choisi d’inviter M. Lu Gué pour se retrouver tous ensemble. …
C’était l’un des débats les plus attendus, avec une nouvelle mobilisation anti-bassin vendredi 19 juillet à Saint-Sauvin, dans la Vienne, et le lendemain dans le port de La Rochelle. Quelques jours avant l’événement, les tensions sont vives. est élevé pour des raisons compréhensibles. Le Festival International du Journalisme de Couture-sur-Garonne, toujours au centre de l’actualité, se tiendra ce samedi 13 juillet, après 15h, par Julien Le, fondateur et porte-parole de « Bassines Non Merci ». Nous avons choisi d’inviter M. Ge et rencontrons-nous tous ensemble. , et Serge Bousquet-Cassagne, président de la Chambre d’agriculture du Lot-et-Garonne.
deux condamnés
Mais finalement, c’est le vice-président Patrick Franken qui s’est présenté devant un public de plus de 350 personnes sous la grande pancarte Acacia, mais le public n’a pas forcément soutenu sa cause.
C’est comme si Julien Le Guay était invité à C News. »
«Aujourd’hui, c’est comme si Julien Le Guay était invité à comparaître sur C News… Si on félicite les orateurs, il faut faire de même pour les autres», a dû le rappeler à plusieurs reprises le modérateur du débat. devant nous. Paroles d’agriculteurs, notamment face au tumulte provoqué par leur manque d’indépendance alimentaire sans irrigation.
Mais les deux ont quelque chose en commun : des condamnations judiciaires. L’un pour avoir organisé une manifestation interdite à Sainte-Sorine en juillet 2023, et l’autre contre la construction illégale du réservoir du lac Caussade à des fins d’irrigation. Leurs actions respectives se sont heurtées, ce qui a alerté la compagnie de police militaire locale, qui a pris connaissance de la rencontre.
Mais lorsque Julie Trottier, hydrologue et experte en politique de l’eau, tente de corroborer les chiffres de la gestion, ceux-ci plaident en faveur d’utilisations très différentes de l’eau. « Est-ce que ces bassins stockent de l’eau ? », a demandé un spectateur dans l’arène. Les hydrologues ont réagi négativement, Julien Le Guay, soutenu par les dirigeants, protestant contre les coûts de ces derniers. « Un mégabassin coûte 5 millions d’euros et 1 000 d’entre eux seront construits en France. Alors faites le calcul ! », a-t-il déclaré, soulignant que la facture d’eau des agriculteurs serait multipliée par cinq.
« Vos méthodes sont violentes », ont déclaré les deux représentants, « et étrangement semblables à vos méthodes ». « Je demande de l’empathie pour les agriculteurs, car le système actuel a atteint ses limites. Mais ce n’est pas de leur faute », a déclaré Patrick Franken, député des Girondins et agriculteur à la retraite, ce que M. Franken a totalement nié. Toutes les figures scientifiques appellent à cesser de « mordre la main qui nous nourrit ».
«Nous espérions voir l’impact du lobbying et des coopératives sur les questions de revenus des agriculteurs», conclut Julien Le Guay lors d’une conversation avec Patrick Franken. C’est un vœu pieux puisque ces deux-là ne sont évidemment jamais d’accord. Le militant et le vice-président de la Chambre ont retiré leurs micros et ont poursuivi leur discussion sans confrontation. Ce ne sera peut-être pas la même musique le week-end prochain. Le Bureau de coordination régionale s’est engagé à s’opposer à la mobilisation anti-bassin.