Sur la scène du premier étage du complexe sportif Doux à Mansour-les-Fontaines, une trentaine de danseurs sur pointes occupent la quasi-totalité de la scène. Pendant ce temps, à l’étage, environ 80 étudiants s’échauffent et de la musique joue. .
Sur la scène du premier étage du complexe sportif Doux à Mansour-les-Fontaines, une trentaine de danseurs sur pointes occupent la quasi-totalité de la scène. Pendant ce temps, la musique résonne à plein volume à l’étage tandis qu’environ 80 étudiants s’échauffent. Entre le panier de basket et la cage de football. Certains soufflent dans les tribunes. Bienvenue au cours international de danse Mansur. Le cours sera dispensé non-stop de 8h30 à 20h à partir du dimanche, avec une séance finale ouverte au public le vendredi 19 juillet à 21h (1).
« Certains cours ont toujours le même instructeur programmé. Ce n’est pas le cas ici. Il tourne et bouge tout le temps, comme une danse. »
« C’est une façon pour les stagiaires de montrer tout ce qu’ils ont appris cette semaine. Avec un rythme de 23 cours par jour, c’est très intense », raconte la responsable artistique de l’Association Mansour Danse, qui accueille cette année également des étudiants venus de toute la France et même Allemagne et Belgique Hélène Laveau, directrice de cette formation prestigieuse qui attire plus de 300 étudiants, souligne : De 8 ans aux retraités. La 35e édition mettra en vedette classique, contemporain, jazz moderne et musiques urbaines sous la direction de 12 professeurs de renom, dont la Cubaine Maren Fuerte Castro, qui vient de rejoindre le club exclusif des danseurs étoiles de l’Opéra de Toulouse et d’autres styles se mélangent à nouveau.
« Comme Analia Gonzalez, professeur de danse contemporaine originaire d’Argentine, c’est la première fois qu’elle anime un cours ici », explique Hélène Laveau, qui souhaite relooker l’équipe pédagogique. L’un des facteurs qui font du succès du stage international Mansur. « Certains cours ont toujours le même instructeur programmé. Ce n’est pas le cas ici. Il tourne et danse tout le temps. C’est une semaine qui élargit nos horizons », a déclaré l’instructeur, qui viendra au Japon pour la troisième fois. , professeur allemand de jazz moderne, se réjouit.
belle vitrine
Un renouveau accéléré par les réseaux sociaux. «Cela nous permet d’augmenter le nombre d’enseignants étrangers et de maintenir notre élan», admet Hélène Laveau, qui a poursuivi l’aventure amorcée par ses parents Pierre et Nanette Laveau il y a 35 ans. À l’époque, les mises à jour des enseignants étaient beaucoup plus complexes. » « Il n’est pas courant en France de proposer des cours de musique urbaine, par exemple, comme le fait ici le Belge Felipe García », explique Carl, qui dirigera le cours de jazz moderne en quatrième année – souligne le portail. Mansur est l’un des événements internationaux majeurs pour les danseurs. »
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Les fenêtres aussi. Quentin Laporte, qui était déjà venu y enseigner l’été dernier, a pu le comprendre. « Cette expérience m’a motivé à effectuer au moins 10 stages d’encadrement partout en France et même à l’étranger », se réjouit le professeur de modern jazz, rentré au pays cette année. J’apprécie l’aspect professionnel.
Comme un stagiaire. Ce n’est pas un hasard si Adela Sajou Cavador et Line Ragneau reviennent cette année après avoir testé la Semaine des Stages en 2023. « C’est le meilleur stage que nous ayons fait. C’est familial ici et j’ai l’impression qu’il y a moins de concurrence que dans d’autres domaines », explique le jeune bordelais de 15 ans qui vit dans une famille d’accueil. Deux adolescents l’avouent : « C’est sympa, comme un petit camp d’été. » Même s’il y a beaucoup de travail, il y a quatre à cinq cours par jour. « C’est une semaine intense, mais avec des professeurs différents. Apprendre de nouvelles techniques. Cela va aider. vous maintenez le niveau que vous aviez au début de l’année scolaire »
(1) Vendredi 19 juillet, 21h au Mansur’s Doue Room. Prix : 10 euros. La restauration sur place est disponible à partir de 19h.