Fink contre Daimon. Aux Etats-Unis, l’élection présidentielle bat son plein. Le dernier fait marquant de cet événement est sans doute la défection officielle du candidat démocrate Joe Biden, visiblement dépassé par cette course à la Maison Blanche. La redistribution des cartes pourrait déstabiliser la distribution actuelle, notamment en ce qui concerne le sujet nouveau et sensible des cryptomonnaies. Dans le même temps, Donald Trump continue de faire des promesses de campagne destinées aux passionnés de crypto. Tout cela s’accompagne de fortes spéculations selon lesquelles Larry Fink, patron de BlackRock et maximaliste émergent du Bitcoin, serait nommé secrétaire au Trésor américain.
Donald Trump persiste à signer sur la question des cryptomonnaies
Il est clair que l’actuelle élection présidentielle américaine s’amuse avec une toute nouvelle saveur de crypto-monnaies. Tout cela est fortement promu par le candidat Donald Trump, qui ne cesse de promettre quoi que ce soit tant que cela rapporte des voix et des millions de dollars.
En effet, le camp républicain mène une campagne de séduction à grande échelle contre les acteurs crypto fabriqués aux États-Unis depuis qu’il a été confirmé qu’ils voulaient accepter les dons crypto. En particulier, ils ont récemment nommé un vice-président publiquement connu pour sa position favorable à l’égard du Bitcoin.
Le genre de stratégie qui fait presque oublier à Donald Trump qu’il mène une campagne et qu’il ne fait pas la promotion d’une énième collection NFT qui a été jetée au sol. Parce que les hommes d’affaires ne sont jamais loin…
Donald Trump se présente comme le champion du secteur américain de la cryptographie
Mais au final, la recette semble avoir trouvé son public. Cela se produit principalement face à une haine généralisée à l’égard du commissaire de la SEC, Gary Gensler, qui est le principal moteur de cette réunion opportune. Et la perspective d’une fin de la « répression » contre les cryptomonnaies mérite d’être vérifiée avant d’être célébrée.
Dans ce contexte, le nom de Larry Fink, le patron emblématique du géant financier BlackRock, a fait une entrée remarquée. Est-il possible qu’il soit considéré pour le poste de secrétaire au Trésor au sein de l’administration Trump ?
Larry Fink : secrétaire au Trésor sous Trump ?
Cette information est tirée d’une chronique du New York Post, et se veut une hypothèse plus avancée qu’une confirmation de son fonctionnement sur un réseau particulier déjà présentée un peu trop tôt.
En effet, le journaliste Charles Gasparino évoque la possible nomination de Jamie Dimon, le patron de la banque JPMorgan, connu pour sa haine profonde du Bitcoin. Cela empêche les gens « d’entretenir des relations avec leurs amis », comme l’a démontré Donald Trump. [comme Fink] à la fois les proches et les ennemis [comme Dimon] Plus proche encore. »
Larry Fink, le patron de BlackRock
Cependant, d’un point de vue purement cryptomonnaie, la nomination de Larry Fink serait un signal fort de la part de Donald Trump sur l’orientation de sa politique en faveur des cryptomonnaies. Car depuis le lancement de l’ETF Spot Bitcoin, le patron de BlackRock est devenu un véritable maximaliste du BTC. Cette dernière a récemment déclaré qu’elle le considérait comme un « produit financier légitime ». »
Alors, Jamie Dimon ou Larry Fink ? Les discussions vont officiellement débuter, même si le journaliste Charles Gasparino rappelle que le patron de JPMorgan aurait probablement refusé le poste s’il lui avait été proposé. Parce qu’il n’a clairement pas une haute opinion des candidats républicains. La question est de savoir si Donald Trump fera valoir son point de vue parce qu’il « déteste qu’on lui dise non » ou s’il optera pour une option clairement plus avantageuse pour le secteur de la cryptographie.