Contrairement aux rumeurs largement répandues, le CIO n’a pas supprimé la vidéo de la cérémonie d’ouverture sur YouTube en raison de la controverse. Si les replays ne sont pas disponibles dans certains pays, cela est dû aux droits de diffusion.
Publié le 28 juillet 2024 à 17h13.
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Le président du Comité international olympique (CIO), Thomas Bach, s’exprime lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris, le 26 juillet 2024. (BENOIT DOPPAGNE/BELGA MAG/AFP)
« Vidéo non disponible. » Cette mention a été publiée sur la page YouTube du Comité international olympique (CIO) dimanche 28 juillet, deux jours après la tenue de ce spectacle unique sur la Seine en ouverture des JO de Paris. . Mais si cette rediffusion est inaccessible, ce n’est pas parce que certaines parties controversées de la cérémonie ont été supprimées par le CIO, comme le prétendent notamment des rumeurs relayées par Ouest de la France.
« Le CIO ne détient les droits de diffusion que sur certains marchés mondiaux. Plus précisément, le CIO n’a pas de droits de diffusion en Europe ou au Royaume-Uni, etc. Par conséquent, les images des sites et zones olympiques officiels sont limitées à ces pays. » du marché. La vidéo ne peut donc pas être visionnée. Elle n’a pas été supprimée », a déclaré dimanche le CIO, contacté par la télévision française.
Samedi, le directeur général du CIO, Christophe Dubie, a déclaré que la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris avait fait plus que « jeter une pierre dans l’édifice ». « Nous avons apporté une montagne. Ce n’est pas une petite pierre », a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse en compagnie de Tony Estangue, responsable du comité d’organisation (Kojo) et de l’équipe artistique. Le metteur en scène Thomas Joly, qui présidait la cérémonie, a déclaré que son « aspiration » était « de ne pas perturber ni choquer ». « Hier soir, c’était l’idée républicaine de charité et d’inclusion », a-t-il déclaré, ajoutant avoir lui aussi été victime de « harcèlement » dans son enfance.