Grand amateur de sport, Haussmann a suivi chaque médaille d’or remportée par l’équipe de France depuis le début des JO de Paris 2024 et compte poursuivre sur sa lancée en ciblant ce sport avec attention.
Et s’il était le secret du succès des Bleus ? Après des années de débats sur la capacité de l’équipe de France à bien figurer au classement des médailles aux Jeux olympiques de Paris, personne ne pouvait croire qu’un homme détenait la clé du succès. j’en doute. Quel est son nom ? Son travail? Faiseur de rois. Ou plutôt un champion olympique.
Depuis le début des JO, le Parisien de 33 ans a simplement assisté aux cinq médailles d’or remportées par l’équipe de France. Rugby à sept au Stade de France, Pauline Ferrand-Prévost (VTT) à la colline d’Elincourt, Léon Marchand (natation) à Paris La Défense Arena, Nicolas Gesting (canoë) à Vert-sur-Marne), Manon Apissy (escrime) au Brunai Grand Palais… Les voyages d’Haussmann ont emmené cet immense passionné aux quatre coins de Paris et de l’Ile-de-France. A chaque fois, j’avais l’impression d’avoir été touché par les dieux de l’Olympe.
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« Les trois premières médailles d’or, j’ai ri avec quelques amis parce que j’étais le seul à les remporter. Les quatrième et cinquième étaient encore plus improbables parce que j’étais le seul à l’avoir fait. Fait intéressant, le talisman de Bruce s’est échappé, « un merveilleuse coïncidence.
Mais ce destin merveilleux n’est pas une simple coïncidence. En grand passionné, il a participé à la création de l’association sportive « Les Bardours du Sport », dont le but était de soutenir l’équipe de France à l’étranger, et il a prêté une attention particulière aux meilleures chances de la France de remporter des médailles. j’y suis allé. « La natation, c’était une journée que j’avais oubliée pendant deux ans. Le 400 m quatre nages de Léon Marchand était une journée que je savais que je ne pouvais pas rater. Pareil avec le sabre (médaille d’or de Manon Apissy-Brunet). C’était ça. Je savais que c’était pour vérifier. éteint », avoue Osman.
Haussmann (33 ans) en finale du sabre féminin au Grand Palais (29/07/2024) – RMC Sport
A participé à la Coupe du monde de Russie 2018
S’étant illustré en Russie lors de la Coupe du monde 2018, en Australie lors de la Coupe du monde féminine 2023 ou encore en Allemagne lors de l’Euro 2024 (il y a des limites à tout porte-bonheur), ce numérique est pourtant habitué à vivre de grands moments sportifs. difficulté à départager les cinq médailles d’or.
« C’est difficile de choisir… » murmure-t-il. « Le rugby avait une ambiance, un effet Antoine Dupont, 70 000 spectateurs… Celui de Pauline Ferrand-Prévost est très impressionnant, mais c’est dehors et il faut être au bon endroit. Et puis il y avait Marchand et Canoë. Un chef-d’œuvre… Il y a deux Françaises en finale d’escrime, mais l’ambiance n’est pas forcément la même que face à d’autres pays. « Il n’y a jamais eu une telle différence entre nous et nos poursuivants, et il n’y a jamais eu une telle ambiance auparavant. «
« Je vise 10 points. »
Mais le moment est déjà venu de commencer à planifier l’avenir. Haussmann est prêt à avaler les 35 kilomètres qui séparent Vert-sur-Marne du Grand Palais avec pour récompense deux médailles d’or en quatre heures, mais il ne compte pas s’arrêter là. Continuera-t-il à jouer avec une perfection si incroyable que tout le monde se demande ? « Il reste encore des finales individuelles pour Marchand et Teddy Riner, et des finales par équipes pour Sasha Zoya au 110 m haies… Il reste aussi une finale de football féminin. Nous pouvons augmenter le total. Notre objectif est de 10 ! »
Un véritable marathonien dans les tribunes – « Dimanche, nous avons fait trois séances au total. Je pense que, sans compter la colline d’Elancourt, nous avons couru 15 kilomètres et dû gravir 40 étages » – donc Haussmannien a eu les deux autres séances. Nous prévoyons de passer la semaine à explorer différents sites olympiques. C’est ce que je veux dire du point de vue du portefeuille. « J’ai réussi à obtenir beaucoup de catégorie D. Mais les grosses séances coûtent quand même un peu. Au bout d’un moment, j’ai refusé de calculer. Les séances de ventes ont duré longtemps, donc ça s’est bien passé. Quoi qu’il en soit, cet investissement est particulièrement bénéfique pour la délégation française.
Félix Gaboury Journaliste RMC Sport