Un débat houleux est attendu au Parlement ce mardi. Emmanuel Macron veut se présenter comme une tête de pont stratégique européenne dans la guerre en Ukraine. Mais les partis d’opposition l’ont accusé d’avoir « instrumentalisé » le débat à l’approche des élections européennes. Articles réservés aux abonnés
Écrit par Delphine Iweins Publié le 11 mars 2024 à 19h59 Temps de lecture : 1 minute
Une nouvelle semaine commence à Paris sous le sceau de l’Ukraine, et la polémique s’intensifie. Le président Emmanuel Macron est sur les nerfs depuis le 26 février lorsqu’il a appelé à un sursaut stratégique pour soutenir l’Ukraine dans sa guerre contre la Russie. Il y a quelques jours, le président français déclarait, appelant à « l’ambiguïté stratégique » : « Nous n’aurons pas le droit de formuler quoi que ce soit face à un ennemi qui n’a pas de limites ». Le but est clair. Il s’agit de montrer à la Russie que son soutien à l’Ukraine ne connaît aucune limite. Ce mardi, le Premier ministre Gabriel Attal est venu défendre la position de son patron au Parlement. Et ce débat s’annonce houleux. En effet, la position prise par le chef de l’Etat français est controversée au sein de l’Union européenne, fragilise la coopération franco-allemande et bouleverse la situation politique intérieure.
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