Visiblement fasciné par la victoire de la France aux JO de Paris 2024, le présentateur de Canal+ Hervé Mattu a critiqué « le football d’aujourd’hui ».
La finale du sabre 100% français remportée par Manon Apissy-Brunet devant Sarah Balzer au luxueux Grand Palais lundi soir, remportant sa cinquième médaille d’or (16 au total) aux JO de Paris 2024, a été présentée, a indiqué Hervé. . Mattu a lancé une discussion improbable sur le football, le sport le plus regardé au monde, qui présente aujourd’hui de nombreux défauts. Des joueurs qui passent rapidement à l’étape suivante, même après une défaite particulièrement grave.
« Le sport olympique révèle tout ce qui manque dans le football d’aujourd’hui. Les athlètes n’ont pas peur de leurs émotions, ils pleurent de joie, de douleur et de paroles effrénées, et lorsqu’ils se parlent, ils se respectent, gagnants et perdants. Un VAR qui n’intervient jamais (et prend des décisions en quelques secondes) quand on ne lui demande pas », a commencé le journaliste de Canal+. Et l’essentiel est : « Oh, j’ai oublié. Les fans n’envahissent pas le terrain de jeu parce qu’ils pensent qu’ils sont plus importants que les joueurs. » N’évitez pas l’analyse et la remise en question. »
Hervé Mattu relève le défi
Les internautes n’ont pu s’empêcher d’affirmer que les chaînes de télévision diffusant les grands événements du football se sont concentrées sur les réactions des joueurs immédiatement après le match, notamment pendant le match, obligeant les footballeurs à se couvrir la bouche lorsqu’ils parlent. Quant au VAR, qui a suscité beaucoup trop de controverses ces dernières années, les Jeux olympiques ont vu l’utilisation quasi constante (mais certainement en augmentation rapide) des arbitres vidéo lors des matchs de judo et d’escrime. Ces deux domaines ont été au centre de l’attention de la télévision française ces derniers jours…
Cyril Linnet, ancien directeur sportif du groupe Canal Plus, a justifié les critiques d’Hervé Mattu en déclarant : « Même si les stades étaient toujours pleins, les Euros étaient ennuyeux. » J’ajouterais à votre argument une réalisation un peu mécanique, mais au-delà de l’agenda de la médiation, je voudrais souligner que les producteurs et les réalisateurs (qui ne veulent pas que les téléspectateurs le fassent). voir l’événement) Il semble être le seul à encore mobiliser celle-ci, oubliant son rôle originel de souligner