Le premier magasin spécialisé dans les cosmétiques coréens a ouvert ses portes à Nice et ne cesse depuis de gagner en popularité. L’histoire des défis d’un entrepreneur.
Comment se positionner dans le monde déjà mature de la cosmétique ? Zola Bozek prend le problème à l’envers et part à la recherche d’une mini-cible, encore inexploitée en France : un joker par sa nature et son innovation à l’international. des produits qui attirent l’attention. Selon Business France, la Corée du Sud deviendra le quatrième exportateur mondial de cosmétiques en 2022, derrière la France et les États-Unis, presque autant que l’Allemagne et devant l’Italie, et devrait devenir le pays qui vise explicitement une croissance rapide en ce secteur à partir de 2024. Devenez. , pour assurer un podium mondial. Ce boom s’est propagé rapidement, et après la K-pop, la K-beauty s’est fait un nom grâce à beaucoup de communication tant au niveau national qu’international. Pour la Niçoise Zora Bozek, qui a découvert ce produit cosmétique en voyage (elle est également présidente de l’agence de voyages de la marque Nice Golf Travel), ce fut une révélation et s’est vite transformée en une véritable passion pour cette culture cosmétique. autre part. « En Corée du Sud, avoir une belle peau est un signe de savoir-vivre, c’est pourquoi il y a un engouement pour la recherche et le développement, l’innovation et les actifs naturels », affirme l’entreprise, identifiant les meilleures marques depuis le COVID-19. un jeune chef d’entreprise qui s’est lancé dans le sourcing pour joindre les deux bouts. L’explosion du phénomène K-beauty.
histoire des femmes
L’équipe s’est récemment renforcée avec des webmasters/community managers, dont Zora Bozek en charge de la stratégie, Deborah Faraci en charge du conseil, et Marguerite de Saxe, pharmacienne de métier, en charge de la réglementation et de l’assurance sécurité, l’aventure a commencé avec. une relation complémentaire 100% féminine. Ainsi, la première boutique spécialisée dans les cosmétiques coréens en France, ouverte à Nice fin 2020 sur fonds propres, s’appuie sur un site e-commerce de 300 références et où l’on peut interagir avec l’équipe et recevoir des conseils. « Nous vendons plus qu’un simple produit, nous vendons un concept, en commençant par un diagnostic de peau, et nous proposons également des séances vidéo sur notre site pour rester en contact », explique Zora Bozek. Des services avant, pendant et après-vente visiblement appréciés par les clients : Les 120 000 € de chiffre d’affaires réalisés l’an dernier (dont 30 % via les sites de vente) devraient tripler cette année. Et Zora Bozek regarde loin devant. « Nous recherchons une adresse à Lyon pour pouvoir ouvrir prochainement notre deuxième boutique physique. A court terme, pourquoi ne pas intégrer les soins capillaires coréens à notre catalogue… » Vers un développement rapide.