D’où vient le malaise de Zgainski ? En réponse aux questions de POLITICO, les élus MoDem ont d’abord déclaré n’avoir rien cosigné. Plus tard, lorsqu’on lui a montré une capture d’écran d’un amendement incluant son nom de famille, il a répondu : « Je ne l’ai jamais soumis ». [son] a estimé qu’il s’agissait d’un « geste tordu » de la part du RN. Lundi soir, avant de faire campagne pour que son nom soit retiré lors d’un service parlementaire.
ce n’est pas ce que tu penses
Autre que ça. POLITICO a enquêté sur les messages SMS échangés entre les associés de Frederick Zgainski et Frederick Bocaretti. Lorsque le second (du RN) propose au premier (du modem) de cosigner l’avenant, ce dernier répond par l’affirmative. Dans la foulée, le conseiller centriste assure son patron qu’il donnera un « avis favorable » aux amendements proposés – en tant que rapporteur, c’est à lui de prendre position sur les amendements proposés. Elle souhaite également connaître la position du groupe RN « en échange de cet accord ». Cela commence à ressembler beaucoup à une négociation.
Interrogé à nouveau par nos soins mardi matin, Zgainski a commencé à s’émouvoir en disant : « Je n’ai pas vu ça, il n’y a pas moyen… » et a ensuite ajouté que l’amendement proposé (l (l’obligation pour le maire de inviter le conseil) ), une idée défendue par le RN à travers « Faire participer l’ensemble du conseil municipal aux événements officiels de la ville » semblait être la « moins bizarre » des propositions repensistes.
Le député girondin explique que son collègue a « seulement » communiqué avec l’autre parti à ce sujet et aurait répondu « un peu plus tôt ». Ses employés ont été « un peu trompés » par le SMS auquel il a répondu par l’affirmative, car le SMS contenait plusieurs questions. Il a également assuré au ministère élu des Affaires étrangères qu’il aurait obtenu un avis favorable à son égard et qu’il « s’impliquerait un peu plus tôt ». Pour preuve, le tableau récapitulatif des amendements comportait le mot « indéterminé » à côté de la proposition de Boccaletti.
Cependant, il n’y a aucune trace de cet incident dans son intégralité dans les procès-verbaux du Congrès. Dernier rebondissement, mardi en fin de matinée : le groupe de Matej a finalement retiré le document de l’ordre du jour du Congrès. L’absence de « consensus » a entraîné le dépôt d’un trop grand nombre d’amendements et la justification des parties coopérantes dans l’attente d’un autre document bipartisan sur un sujet similaire. Il était facile pour Boccaletti de conclure que l’autre Frédéric n’était « pas celui à quoi il s’attendait ».[ait] n’ai pas ».