« Nous soutenons l’accord global proposé par les Etats-Unis », a répondu samedi 1er juin. sur Le président Emmanuel Macron a déclaré vendredi que le nouvel accord de cessez-le-feu « global » présenté par Joe Biden était une offre de l’État hébreu au Hamas. Les chefs d’État ont appelé à « la libération des otages et à un cessez-le-feu durable pour œuvrer à la paix et faire progresser une solution à deux États », insistant sur le fait que « la guerre à Gaza doit cesser ». Suivez la diffusion en direct.
Un accord de cessez-le-feu en trois étapes. Selon Joe Biden, la « feuille de route » comprend d’abord un cessez-le-feu de six semaines et le retrait des troupes israéliennes « de toutes les zones peuplées de Gaza », mais elle prévoit également la libération de certains otages toujours détenus. Dans une deuxième phase, le président américain a évoqué une cessation « définitive » des hostilités et la libération de tous les otages. La reconstruction de la bande de Gaza aura lieu dans la troisième et dernière phase.
Le Premier ministre Netanyahu a rappelé que l’accord sur un « cessez-le-feu permanent » prévoyait la « destruction » du Hamas. Israël a averti que ses « conditions » pour parvenir à un « cessez-le-feu permanent » dans la bande de Gaza restent inchangées. Le bureau du Premier ministre a réaffirmé que le plan israélien comprend « la destruction » du mouvement islamique palestinien ainsi que « la libération de tous les otages » détenus.
Le Hamas soutient cet accord. « Le Hamas considère positivement ce qui a été inclus aujourd’hui. » [vendredi] « dans un discours du président américain Joe Biden », a annoncé le mouvement islamiste palestinien dans un communiqué.
Le secrétaire général de l’ONU a appelé les deux pays à « saisir l’opportunité d’un cessez-le-feu ». « Nous avons vu trop de souffrances et de destructions à Gaza. Il est temps d’arrêter », a-t-il écrit. sur Antonio Guterres souhaite « une paix durable au Moyen-Orient ». L’Union européenne accueille favorablement les propositions réalistes. « Cette approche en trois étapes est équilibrée (…) Nous avons désormais besoin du soutien de toutes les parties », a-t-il répondu. sur Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne.