La préfecture de Rennes interdit la « déclaration » de La France Insoumiz. Louis Boyard annonce une attaque contre un décret gouvernemental
Louis Boillard, député de La France-Insemieze (LFI), a attaqué jeudi devant le tribunal administratif l’arrêté préfectoral interdisant la tenue du « Manifeste » du vendredi soir à Rennes par crainte de troubles à l’ordre public annoncé. Conférence politique et soirée festive dans le cadre de la campagne européenne.
LFI a appelé à un rassemblement vendredi place Saint-Germain, comme elle l’avait déjà fait en début de semaine à Paris et Lille, mais la préfecture a noté que l’événement « pourrait attirer jusqu’à 400 personnes, selon la police ». . Île-et-Vilaine, selon un arrêté annoncé mercredi soir. La préfecture prévient cependant que « le mouvement d’extrême gauche rennais pourrait saisir l’occasion pour mobiliser les éléments les plus radicaux du mouvement de contestation pour effectuer leur habituelle déambulation sauvage dans le centre historique jusqu’à leur fief historique, la place Sainte-Anne ». «Je pense qu’il y a un certain genre. Le lieu initialement choisi pour ce rassemblement festif.
Dans le décret, les autorités citent de nombreux « excès » et dégâts commis dans la région depuis le début de cette année lors des manifestations contre les lois sur l’asile et l’immigration, notamment des vitrines brisées, des magasins pillés et des incendies de poubelles, je me souviens. « Il y a des raisons sérieuses de croire qu’un trouble grave à l’ordre public pourrait avoir lieu lors des manifestations » prévues vendredi, écrit la préfecture, ajoutant que de tels débordements dans le centre historique de Rennes « ne préoccupaient pas la police ». est extrêmement difficile de le contenir », a-t-il déclaré. la topographie du lieu.
La situation sécuritaire va devenir encore plus compliquée avec le passage de la flamme par Rennes le lendemain, a ajouté la préfecture. Elle affirme avoir proposé « à plusieurs reprises » aux organisateurs du Manifeste deux autres lieux de rassemblement, dont un à moins de 300 mètres de la place Saint-Germain, mais ces derniers ont refusé. Face à ce refus, la préfecture a conclu que seule une interdiction de manifester sur la place Saint-Germain paraissait « adaptée et appropriée pour assurer la sécurité des personnes et des biens », et LFI n’est pas la seule proposée. Il souligne qu’il reste la possibilité de choisir un emplacement.
Dans un communiqué, Louis Boyard, également de X, a pointé des similitudes avec « l’interdiction de réunion de Jean-Luc Mélenchon ». Le ministre de l’Intérieur Gérard : « Darmanin, tu as peur des DJ sets ? » Caricature. J’attaque sa décision devant le tribunal administratif », a écrit le représentant de LFI.