Lorsque Marius Paulin avait 15 ans, il décide de partir aux États-Unis dès sa deuxième année. Pour apprendre l’anglais et trouver « un autre mode de vie ». merveilleuse aventure….
Cette idée est née il y a seulement quelques mois. « C’est ma mère qui m’a prévenu. Elle a une amie dont les enfants vont à l’université en Amérique. Alors je me suis dit : pourquoi ne pas y aller une deuxième fois ? C’est simple, mais comme le protagoniste de Pagnol, Marius aussi. a les aspirations suivantes. horizon lointain.
Marius, étudiant en troisième année à l’Université de Prado-la-Cède, avoue que son niveau d’anglais n’est pas très élevé. « Pour y étudier, il faut un minimum de prérequis. J’ai passé le test et je l’ai réussi. Mais ce qui m’a décidé, c’est quand j’ai dû choisir l’orientation. Quel lycée je ne savais pas quoi choisir, Théophile Gauthier, Marie Curie, quel choix est-ce que je l’ai ? » Donc, en fin de compte, dit-il, les États-Unis sont plus simples. Avec l’accord de ses parents, il lance le projet. « Nous avons contacté une association à Paris qui s’appelle PIE (Programme Internationale Exchange) et ils nous ont très bien accueillis là-bas. Il n’y a pas beaucoup de gens qui vont au lycée… »
Sautez dans l’inconnu
Pour le moment, le projet avance mais n’est pas encore terminé. « En termes simples, cela se fera par étapes. Il faut d’abord qu’il y ait un accord. Une fois cela fait, nous devons ensuite trouver une famille d’accueil qui s’en chargera et je ferai la présentation vidéo et la couverture. J’ai envoyé une lettre. Alors j’ai dit : ‘Vous devez ‘tenter’ la famille… Une fois que vous aurez trouvé une famille d’accueil, vous saurez dans quel établissement aller. »
Et dans quel état… « Oui, ce serait surprenant. Je préférerais la Californie ou la Floride, mais tant que la famille est bonne, je comprendrai. » Marius, qui ne s’inquiétait pas de son grain de sel. Il avoue tout de même qu’il sera difficile de quitter le Sud-Ouest, ses camarades de rugby (il joue au Stadseste Talbay) et sa famille. « Et surtout la gastronomie », s’amuse le gourmand. « Mais c’est le problème. Je veux découvrir un autre mode de vie, l’Amérique. » Assez pour y rester ? « Non, dans un an, je vais revenir et faire quelque chose de ‘normal’ ici pour la deuxième fois. » De toute façon, il n’y a pas d’équivalent. Peut-être que le Département International du Bac Français de Théophile Gauthier dit : « En théorie, je pourrais parler anglais à un bon niveau. »
« Mon rêve américain »
Mais Marius veut surtout vivre le rêve américain. « L’école est complètement différente là-bas, ils ont des cours, mais ils consacrent plus de temps au sport qu’à la maison. Si je peux essayer certains sports, comme le baseball ou le football américain, je suis prêt à l’enlever, mais il y en a. » aussi le rugby, qui se développe, donc je pense que c’est bien de continuer, mais tout dépend où je vais. » Et il le saura en juillet. Le départ est prévu vers la mi-août. Les problèmes économiques demeurent car le rêve américain a un prix…
« Oui, un total de 13 700 euros par an. Comme on dit, j’ai cassé la tirelire, je suis allé chez le banquier et bien sûr mes parents et mes grands-parents ont fait un don. Jusqu’à présent, nous avons récolté 845 euros. euros. » Dans le coin, son père Thierry acquiesce, visiblement plus inquiet que son fils. « Le plus difficile, c’est qu’il est complètement immergé depuis un an et qu’on n’a pas le droit d’aller le voir et qu’on doit réduire les contacts, mais c’est son projet. « Et nous le soutenons jusqu’au bout ». dis là, allons-y…