Gabriel Attal vise un rassemblement national à six jours des élections
En particulier, le Premier ministre, désigné par Matignon en janvier pour affronter Jordan Bardera, tête de liste du Rassemblement national, dans la campagne pour les élections européennes, a multiplié ses interventions dans les médias dans les jours précédant le scrutin. Après l’émission de France 5 de jeudi et sa participation samedi au dernier grand meeting de Valérie Heyer, il apparaît actuellement sur Franceinfo, dans lequel il affirme que les élections du 9 juin sont « probablement les plus importantes de l’histoire des élections européennes », a-t-il réaffirmé. .
« Il n’y a jamais eu de défis aussi importants : le recours à la guerre en Europe, le changement climatique, l’intelligence artificielle qui révolutionne nos vies, la compétition entre l’Amérique et la Chine », a-t-il énuméré, ajoutant : « Face à eux, nous ne pouvons pas devenir plus forts en devenant plus forts. » plus forte. » À lui seul, comme le suggèrent la plupart des autres listes. » Gabriel Attal a une nouvelle fois ciblé le Rassemblement national, qui était auparavant en tête des sondages, éloignant la liste du camp présidentiel. Pour le Premier ministre, « le risque que l’extrême droite perturbe le Parlement européen et les institutions européennes n’a jamais été aussi élevé ».
« Imaginez les cinq dernières années : si l’Europe avait été confinée, comment aurions-nous géré la crise du coronavirus pour se faire vacciner ? « Ils sont contre tous les traités », a-t-il attaqué, alors qu’une des propositions du RN visait précisément à mettre en œuvre la préférence de l’Etat pour les vaccins. ordre publique.
« Ils disent maintenant : « Faisons tout le monde travailler à domicile pour les entreprises ». Cela veut dire que toutes les entreprises françaises qui exportent vers d’autres pays européens et qui ont remporté des appels d’offres ou des marchés publics dans d’autres pays européens, « Cela veut dire qu’on ne pourra plus pour faire ça », a-t-il menacé. Il a également rappelé l’une des promesses de la campagne présidentielle de lancer « un plan d’investissement de 1 000 milliards d’euros dans notre économie, l’industrie verte, l’intelligence artificielle et le secteur quantique ».
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