Trois hommes, dont un joueur de football japonais, ont été arrêtés parce qu’ils étaient soupçonnés d’avoir agressé sexuellement une femme, ont rapporté mercredi les médias locaux.
Trois hommes, dont un joueur de football japonais, ont été arrêtés parce qu’ils étaient soupçonnés d’avoir agressé sexuellement une femme, ont rapporté mercredi les médias locaux.
Kaishu Sano, 23 ans, et deux autres hommes, également dans la vingtaine, ont agressé dimanche une femme d’une trentaine d’années dans un hôtel de Tokyo, ont rapporté la chaîne publique NHK et d’autres médias, citant des sources policières.
M. Sano nie les faits
Selon la NHK, la police a reçu un rapport de la victime immédiatement après l’attaque, a arrêté les trois hommes à proximité de l’hôtel et s’efforce actuellement de découvrir les faits. Contactée par l’AFP, la police japonaise n’était pas immédiatement disponible pour commenter l’incident. Sano, qui joue au milieu de terrain et a participé à la Coupe d’Asie des Nations cette année avec l’équipe nationale japonaise, a signé avec Mayence de la Bundesliga allemande ce mois-ci, rejoignant les Japan Antlers de Kashima avant de rejoindre.
Le club a déclaré dans un communiqué : « Nous sommes extrêmement préoccupés par l’affaire impliquant notre ancien joueur ». Le club japonais de la J.League a déclaré : « En raison de la nature de l’affaire, le club n’est pas en mesure de confirmer davantage de détails, mais continuera à suivre la situation de près. »
Un autre joueur de la sélection japonaise, Junya Ito, qui joue pour le club français de Ligue 1 de Reims, a été suspendu en début d’année après que la police japonaise a confirmé qu’il avait été accusé d’agression sexuelle par deux personnes. Il avait été contraint de se retirer de la Coupe d’Asie. . Les femmes étaient les sujets de l’étude. Selon les médias japonais, l’incident présumé aurait eu lieu en juin 2023 dans un hôtel d’Osaka après un match entre le Japon et le Pérou. M. Ito nie ces accusations et a intenté une action en justice contre ses deux accusateurs, réclamant 200 millions de yens (1,2 million d’euros) de dommages et intérêts.